Je suis les jours jaunes de mars, dans les heures gelées de janvier.
Je zieute les drôles de zèbres, depuis la tornade céladon qui m'empote.
Je suis dans les bras de Morphée, couleur cuisse de nymphe.
Je souris aux miroirs de mon âme, outre-mer, vert de gris, terre d'un soir.
Sans vous je suis sans teint, évaporée dans la couleur céleste.
Dans l'infini ciel Lazuli, je rêve et zigzague, portée par vos mots.
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Ton programme me plait :
Tu penses au printemps en hiver
Tu te souris avec des couleurs d'automne
Et tu retrouves toi-même des couleurs dans un rêve de mots !
"Il suffirait de presque rien ",
du petit "r" emprunté aux mots des autres,
et glissé au milieu d' "empoter ",
le tour serait joué pour être emporté dans l'infini possible