Le Cercle des Poètes apparus-es . . .
" ô Captain ! my Captain !" , cri de douleur du poète Walt Whitman à la mort d'Abraham Lincoln, assassiné.
Ces vers ,choisis , symbolisent le coeur dévasté de cette élégie...
"oh! les gouttes rouges qui lentement tombent...
Je passe mon bras sous sa tête...
Je foule le pont où gît mon Capitaine,
Etendu mort et glacé..."
Film, très célèbre, il m'a suggéré le titre de cette page. Je vous l'offre, à vous amies-amis poètes.
La pensée de Whitman est évoquée dans le film où l'on voit les étudiants avec leur professeur.
Vos inspirations, jaillissant de l'encrier, nous proposent ce poème où le rêve l'emporte sur la prose quotidienne , (pour notre plaisir )
Un jour un Ange en jupon est apparu.
Femme aux cheveux roux foncé...
Comme ceux de ma mère.
Et j'ai pu lire dans ses yeux la force de son coeur.
Chaque parole a des conséquences
Mais chaque silence aussi . . . Et je me dis qu'il vaut mieux parler !
Ainsi même en le brisant pourrai-je le garder ?
Aujourd'hui on s'ennuie ,
Point de poésie, point de fantaisie,
Et encore moins de folies . . .
Dormir pour rêver encore d'elle . . .
Et fuir le destin dont le seul écho
Est le souvenir de ta voix qui m'appartient . . .
Dans la clepsydre de la Vie on verse de l'eau.
Malgré le temps, qui oublie, ma mémoire pour Toi est sans fin.
Dans le sablier de l'Au-delà on y verse du sable...
Bernadette, Clodie, Jacqueline, Babeth, Claude, Jean, Jacques,
Ce poème vous appartient, il est vôtre...
Il est la rencontre de la "Folle Complainte" et d'un film portant haut le " carpe diem", mais surtout de vos inspirations et de vos rêves . . .
L'atelier d'écriture, en devenant ici "le cercle", . . . nous propose un autre voyage, une autre destination et d'autres aspirations.
@
.