Encrier 87

Textes de Yvos Texte de Yvos du 11 novembre

Objet

Prenez la porte ! C’est une porte née et n’est pas née porte qui veut. Qui veut être pané, porte en lui du poisson à vendre en porte à porte, en portion de préférence ça rapporte et en paquet aussi, surtout quand celui-ci ne se rapporte qu’aux chers poissons en promo. En primeur, tout me porte à croire que la poire prend le pas de la porte dont le prix meurt de tant d’indécence quand, importée d’inde, faut compter l’essence.

Les sens en éveil d’un cochon d’Inde n’y retrouveraient pas leur portée, ni un chef de musique porté sur la bouteille et pourtant, partant de ce paradoxe, le sopraniste porte haute la note de frais sortie du frigo tandis qu’à l’âtre, y’a du suif qui fuit à plein fût. Un fût qui fut, naguère, la caisse du tambour et n’a guère le temps d’en faire une caisse enregistreuse.

Voila ce que font deux tiroirs et une porte, triés sur le volet, mis au tas et brûlés en rizotto ! Ils se font dessus et s’oublient, paradant en pardessus et sans dessous, cela se sait, si bien qu’ils déploient le parapluie anti suif en tissus avec application Google orages, dépressions, tempêtes et des meilleures.

Et en s’avouant vingt culs de travers à se faire autant suer de mots tant foireux, mots montants tel Yves, au plafond, bas de pieds et de laine, donc Milène mi coton et Guillaume…Tel, portable d’Orange.

Rien n’indique que ce jeu de quiz suffise à tacler le tac au tac tatillon en astre au logis désastreux, trop logique et redondant. Car le revoilà le primeur de sa belle mort, qui me porte à varier le rêve en rave de carotte, un poil avariée, n’en revenant pas de se trouver non partant au tiercé.

Là où tout se joue de si important, quand c’est le tiers du jour qui est en jeu tu il…Oui, elle est là la tuile, posée sur ma porte cochère. Elle me l’ouvre en musée du même nom (comme le dit Aga, même nom !). Et, c’est transformé, comme au rugby, qu’apparaît un indien, qui, en passant (plutôt qu’en chauffeur !), vaut mieux que deux tuiles au rat des pâquerettes.

Il est en toge de lin et en stage de langue… de chat, s’asseyant à l’indienne et s’essayant au langage canadian dry to keep on and to speak (ou dash, lessive, pub !) and come again to enjoy my mind, yes my mind, la seule qui maille (de pull mohair, de rien !) en terme de moutarde et en thermes de bains moussants.

Il n’en fallut pas plus pour, dans mon rêve de baigneur anthropique, me porter à l’envie d’un beignet dégradé des gradins d’Agadir (tagada !), à cheval sur un kebab et sur mon bidet, non vidé au club. T’as qu’à dire que c’est ainsi qu’on nomme les nems du Maghreb et je tire à pilpil ou face qu’un couscous assurant la course à une paire de merguez nous délivrera de la porte turque sacrée de l’emploi à vie dans l’administration, qui porte à faux ma porte et son toit ma gueule, qu’est-ce qu’elle a ma gueule ?

Yvos

Commentaires 1

  • Alpico

    Yvos tire à Bajazet continu sans cal(er) en Bourg-en-Bresse.

    Les gradins d'Épidaure la pilule à ceux d"Agadir

    Les cales en (miel de) bourdaine et  les mots-lierres s'extasient en arlequinades

    tandis que Geronimo ne dit plus mots devant l'avalanche .

    Bravo Yvos

    Alpico

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