La Cravate et la montre
La cravate douloureuse que tu portes et qui t’orne, ô civilisé, ôte-la si tu veux bien respirer.
COMME L’ON S’AMUSE BIEN!
la beauté de la vie passe la douleur de mourir.
Mon cœur ,
les yeux,
l’enfant,
Agla,
la main,
Tircis,
semaine,
l’infini redressé par un fou de philosophe,
les Muses aux portes de ton corps,
le bel inconnu
et le vers dantesque luisant et cadavérique,
les heures.
Il est moins 5 enfin.
Et tout sera fini.
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Transcription :
la cravate douloureuse que tu portes et qui t’orne ô civilisé ôte-la si tu veux bien respirer
comme l’on s’amuse bien
la beauté de la vie passe la douleur de mourir
mon cœur
les yeux
l’enfant
Agla
la main
Tircis
semaine
l’infini redressé par un fous de philosophe
les Muses aux portes de ton corps
le bel inconnu
et le vers dantesque luisant et cadavérique80
les heures
Il est – 5
Et tout sera fini