Un homme minuscule à l'intérieur d'un coquillage géant.
Au loin, une ouverture. Sur quoi ? Mystère !
J'aime les lignes courbes qui ondulent sur le toit, armature qui semble fragile pour le supporter.
Qui a commandé ce coquillage et qui l’a conçu et osé le réaliser ?
Pourquoi imaginais-je que le lieu de ce coquillage est forcément une montagne ?
Est-ce la sortie d'un tunnel montagnard ?
Est-ce l'entrée d'une mine ?
Que fait l'homme au milieu de l’espace - plan ?
Qu'est-ce qui l’a conduit en cet endroit peu rassurant : c’est comme si les armatures du toit allaient descendre et l’enserrer ,tel les bras d’une pieuvre.
Malgré la hauteur des armatures, il y a quelque chose d’étouffant, de menaçant.
Est-ce l'image d'un cauchemar ?
Les deux ouvertures du toit n'arrivent pas à rassurer.
Tiens, l'homme porte un parapluie ouvert !
Serait-ce que là où il se trouve, le toit n'est pas étanche, que l'homme ln'est donc pas à l’abri ?
Comme c'est irritant de ne pas savoir où se situe ce boyau et sa spirale et sur quoi débouche sa gueule elliptique.
C'est kafkaïen à la fin.
Cet homme a une grande solitude : il n'a que son parapluie pour dialoguer.
C'est énigmatique.