Tout l’agace ce matin.
(Lui en premier sans doute …)
Il devine la laideur sous la crasse d’un vernis trop voyant .
Il fuit la jouissance à tout crin que recherchent certains pour oublier un ennui souterrain.
Il évite le cauchemar des lectures surfaites ou des écrits formatés au goût du jour.
Il abhorre les cages dorées qui puent l’artificiel et le convenu.
Il exècre la tendresse frelatée qui endort les naïfs.
Il flaire les duperies qui rôdent tout azimut.
Il déplore l’envahissement par des images et des nouvelles répugnantes.
(Mais qu’est-ce qui trouve grâce aux yeux de ce misanthrope?
Est-il heureux ou malheureux?
Où trouve-t-il le goût de vivre?)
Commentaires 1
tu stimules une envie de suite , je me permets ....
Le rosé de l'année n' a pas eu de frigo . Du bois a encore faire brûler à la canicule , plus rien n'a de sens . Les saisons les élections , les cerises gelées encore et encore cette année avant d'éclore . La jeunesse n'a pas eu le temps de pousser , les fleurs comme les souvenirs grillés à l'image de la beauté qu'il avait . Le corps , la grâce , la connaissance tiens sa petite fille vient de passer son bac comme une lettre à tampon décalé .
Elle déménage et met en vrac ses affaires ; en deux cartons le coffre est plein ! Des brouillons des verres pas même protéger du glas , il pouffe c'est trop tard il a pétanque à la télé elle l'a appelé deux heures avant , lui le papy a dit oui fatigué .
Elle oublie de dire merci , il le prends son verre de rosé . Le téléphone sonne .
Allo Jean Pierre c'est Mireille ... Jules Ferry 1962 Cormac les Deux Navires école privée !
La semaine prochaine , il ira la retrouver .