il était une fois, au IXX siècle, deux femmes, deux héroïnes qui…
prises par une agonie en extra quittait l’ordinaire pour de multiples savons .
La glisse mousseuse , douce et si délicate peau à peu laiteuse .
Corps d’ange sous un corps vertueux où les âges fleurtaient avec l’innocence du temps .
Invincible , immortelle , voilà deux fleurs éternelles au fin de la faim .
Faut -il encore décrire les déesses et le pouvoir des seins ?
Reprenons pour les qui au XXI mienne que neni ne savent rien ou presque enfin selon .
Toute goutte qui de l’eau qui du sein trame une puissance qui nourrit ou qui calme le destin .
En corps gît une puissance de riz ( avoir du bol fait bien l’affaire ) et ma foi au balcon du sous tif donne encore le lait à défaut du biberon !
Pause musicale
Malade complètement malade
je verse mon sang dans ton corps
Et je suis comme un oiseau mort quand toi tu dors,
Je suis malade,
Parfaitement malade,
Tu m’as privé de tous mes chants,
Tu m’as vidé de tous mes mots
Pourtant, moi j’avais du talent
Avant ta peau
Mes emmerdes me sont revenues en pleine gueule comme un élastique .
Pourtant j’avais l’exercice une énième de trop , par les circonstances , ça se bouscule ce ras le bol tout en et cette gratitude d’écrire encore et les déesses qui de loin nous entourent et font la fête .
Il était une fois dans un temps , des femmes aux airs , aux eaux aux swing .
Il était flegme aux os au pur ou dîme
Il , elle fabuleuse
emmerdée
reviens
hélas il y a un tic !
La 7
Commentaires 5
Mais comment fais-tu? Des fois le fil des fois le ciseau des fois le fil, le fil...ça me fait penser à l'idée que j'ai du surréalisme...sans sens...sang fil...ou avec? Dix toi!
Je laisse le glaive et la splendeur m'envahir ...
je laisse l'enchaînement "bâtard" me traverser et comme une caresse je traduis cet état là , sans pensées autre que celle du moment , vivante en tout ce magma furtif et florissant .
Merci de prendre mes mots comme ceux de ... je n'ai pas d'autres chapelles en somme que ceux des maux permis d’exulter par l'encrier .
Chère Magali
Je ne saurais que dire, bien sûr, tu pourrais me dire," si tu ne sais pas quoi dire autant te taire" ceci dit, je n'aurais pas de critique à faire face à ce texte dont le sens profond m'échappe
Peut-être une façon de se vider l'esprit, d'exprimer un mal-être où autre.
Cela reste neanmoins joliment conté.
Il y a une certaine poésie là dedans.
Et c'est peut-être là l'essentiel.
Chère Shane
ton nom soudain me parvient , ta face en ces temps virtuels se confonds dans les louanges des retours commentaires et textes .
Néanmoins ta lame et ta plume , ton œil et ton écoute ... ton ... , voilà le jeu qui attire et disperse ...
je suis enfant de l'impro libéré et fière d'avoir connu l'espace de liberté d'encrier : rien de conforme , rien de calcul tout le vrac parfois me modère et m’exulte des lourdeurs pas choisies de cette réalité ... enfin commune .
Je devine une culture discipline acquise , ancrée admise avec un cœur énorme de ta part . Une curiosité une envie , lâche , tout , attention , comme toi je suis sensible , ici on ne juge pas , si je comprends ou n'aime pas au moment , je passe , je respecte mais toi tu oses dire des trucs ...ouf vigilance , se mettre à nue c'est toujours avoir le courage , et celui du bide du médiocre est le plus fort .
Néanmoins tu fais quoi dans ta vie active que tu sembles encore transmettre les vibrations ?
En fait je me moque de ta réponse , j'entends juste le lien avec l'écriture , littérature exulte en discipline savoir et ouverture .
J'espère te voir le 29
Merci .
Magali, merci pour tes explications! Associations libres, spontanéité, liberté...que j'aime ça! Moi aussi Encrier me permet de m'exprimer librement mais autrement.
Chacun exprime ce qu'il est, de l'endroit où il en est de son chemin...de ses libérations...vers lui-même et vers l'étranger...