Loin de la foule , la vive a fière allure . Elle tourne encore les lettres de l'alpha , baies en miroir , et l'horizon en charge de toutes les fantaisies , en fond la glace est semée de gris .
Les promesses ne tiennent plus , l'ère est au climat ce que nauséabond reprend . Tenir debout , parfois recèle encore et filent les lumières inconstantes persistent de temps en pose puis indélicates fuient .
Noire aigri , pleine de sacrifices , les luttes se multiplient .
L'adaptation au mouvement de liasses le Robert est caché , l'arbre de devant continue , il grandit . Sa voisine dorénavant ne le voit plus se miroiter au balcon , passif attentif , solitaire et quasi dépressif .
La Raymonde a du blé à épandre , faut il conserver la graine où attendre à tout rendre .
Édouard lui joue au solitaire devant son linge jaunit . Que éteindre ? Être pingre intègre ou en soin palliatif ???
Quel âge à l'ortie ?
Dans le magma des ruisselantes les adieux sont encore tièdes . Les incompétences encore au service ignorent qu'ils mettent en caracole des millénaires d' immondices .
Que de vices et de vertus dans ce monde ici bas !
Les magiciens ont tant à faire ...
La bonne nouvelle est que ni de l'autre ni de soi parviennent au l’au-delà . Enfin presque , enfin encore un jour , encore une fois ... il était au pays des narquois des corps qui parlaient qui bougeaient et qui écrivaient l'histoire la leur sans savoir ni pour qui ni pourquoi .