« Rien dans ce monde n’arrive par hasard » a écrit le poète et ça vient de se vérifier encore une fois.
Je voulais arracher la burqa du corps brûlant de Fatima, je voulais arracher le sac de la tête de cet homme pour qu’il voie enfin le monde tel qu’il est et je viens d’ être attrapée avidement par un petit mot prononcé par N.
Ce n’est pas Aleph (lui c’est une vieille connaissance), c’est Zayin qui a convoqué en moi Daleth, Iod, Tsadé et tous les autres, tous ceux qu’il m’a été interdit d’approcher depuis toujours, sous peine de…mais ce serait trop long à expliquer et aussi trop intime .
Sans m’en rendre compte, j’oublie Fatima et l’homme au sac sur la tête et me voilà sautillant, dansant et entrainant Zayin , Iod, Aleph et les dix-huit autres dans la surprenante chorégraphie de la vie l
Commentaires 1
Une farandole, une tarentelle, une danse avec les lettres à la fois poétique et ésotérique.
Jacques