HORS PISTE
J’ai pris 100 anses . Comme des fils , des rayons fils aimants , un à un suis scotchés .
J’ai pris 100 ans . Même à peine , la moitié , une à une enfilée les années j’ai à peine su goûté .
Rien y fait .
Toutes les boîtes sont fermées .
J’y serai bien pour un soir , entrer , danser et puis coucher , me . Pleine des lueurs aux néons en bulles condensées , sous des lumières en spot , tourne tourne j’y suis . Y aller . Samedi soir sur la terre j’ai quinze ans , le prix est fort j’ai le billet pour l’aller une voiture , le retour , je verrai .
Pas la peine , trop de peines, c’est fini , un autre siècle est passé .
-T’as 50 les jeunes vont te lyncher , maman de quoi tu parles tu rêves moi même mineure je peux pas y entrer .
Le blues ? Nina si bonne swing sous Asaf Avidan c’est la même . La complainte du phoque en Alaska qui vivait en meute sous les arcs , en ciel azuremment camaïeu .
Panoplie de la soupe ; je suis vieille , la veillée , maison , urgence je suis conne une conne au final .
Un filtre pour les modalités , si il te déplaît , fais comme si , fais pas ça … du tronc tu fais du bois !
Oh le souffle !
Je ne suis pas en caisse pour en revenir aux boîtes , pas morte même pas éteinte , allume !!!
Pas de feu ,rouge jaune bleu , interdit de ruer , flambes de tout mât proche du noir l’aigle aspire le lac où je dors ...ah bah non suis de glace dans le pavillon blanc .
Ton armure ne peux plus me durer . La nuit tombe dans mes cauchemars éveillés . C’est ça me dit , un peu et puis j’oublie . Se balance dans ce temps entre gris clair et gris foncé , les réveils tombés du ciel , ils s’y sont mes fétiches et qui sait ?
Imbibée des sommes qui raisonnent , la liste de chansons traversent une mémoire en suc cutanée quand arrive le soir , je gerbe après trente années , des week end ou sobre jamais j’aurai imaginé , mes enfants en quarantaine dans leur vingtième années .
Noir c’est noir , il n’y a pu d’espoir.
Lasse , oh Camille baigne moi de ton air , là ...so ….
Commentaires 1
Je connais un moyen de ne pas vieillir: c'est d'accueillir les années comme elles viennent et avec le sourire...un sourire, c'est toujours jeune .
Francis Blanche et Pierre Dac