Ô rage ô désespoir ô vieillesse ennemie !
N'ai-je donc tant écrit que pour cette avanie,
Et ne suis-je blanchi dans les travaux d'Encrier
Que pour voir un virus briser ma volonté...
Mes doigts, qui tenaient les crayons et les plumes,
Trahissent donc mes nombreux efforts anthumes ?
Ô cruel devenir des (heureux) samedis matins,
D'un valeureux groupe écrivant, surtout, au féminin.
Confiné, avec radio, journaux et télé, je gémis
De n'être (peut-être...) plus qu'un "cadavre exquis" !
Au revoir, à toutes, merci pour ces matinées sympas,
Que nous retrouverons . . . (n'en déplaise à "Korona"!)
Commentaires 1
Copie d'un message de Emma mis par erreur au billet Site en chantier :
"Merci .
Traduction parlante d'un état très présent et partagé à laquelle je n'avais pas accès étant donné que je gérais des dossiers d'écriture du passé ."