Titre spontané : L’écriture entre les mains.
Lorsque l’écriture est définie en formules péremptoires d’intellects, en poncifs littéraires d’une déchéance, en représentations philosophiques mécanistes, en sériages scientistes, en mythologies prises pour vérités, nos cœurs se mutilent de réalités.
Sur le visage de l’écrivain s’appose un masque, de ces dépôts des difficiles à vivre notre humanité.
Or en chaque écriture, des corps tracent le mouvement d’être. L’enfance connaît cet infondé d’actions conçues comme émanations intellectuelles retranchées de notre vivance corporelle, de nos matières au monde.
L’écriture fait ce corps voué à la mort. C’est une tentative vaine.
L’écrivaine a l’expérience de cycles de veines, au sein des sens de nos hommes d’amour.