De la mayo au stylo .
Chimère de la dilution voici une question . Amis de la trace , philosophe de l’image peut on joindre l’huile à l’eau ? Partenaires de la science je fais appel à votre oubli , à votre requête enfantine d’expliquer le monde avec ce brin d’invisible , de dérives à merci .
Soit , pour les demeuranst de l’absurde et de la folie , il se trouve une recette dont aucun recueil ne fait part du repas réussi .
La réception n’a d'yeux que sur ce resto intra domi . Voici une formule quotidienne du meilleur comi , à laquelle nombreux congénères peuvent avoir à pourvoir aujourd’hui . Donc le propos alimentaire mon cher … chéri , est de résoudre le faire avec une certaine harmonie . Puissons -nous unir nos lierres et nos écorces durcis pour résoudre l’énigme qui m’anime aujourd’hui ?
Reprenons les critères :
il y a dans le monde des esprits des âmes vacantes , des esprits endurcis . D’autres se traînent en héritage des faire comme si . Qu’importe les bagages nous sommes en acagie ( monde vulnérable au syndrome du si ) donc sur « le pas que beau » d’un présent démuni
Se lance une sérénade ouverte à toute voie in sis .
Voyons un peu la chose de plus près ; plus précis .
Les rivières se grondent de parcours endurcis par les molécules inertes tentant de réduire l’élan à réduire les amphis ( termes génériques voulant exprimer la biodiversité ) .
Face à ces troublements des lacs , des rues et des estuaires , l’eau ruiselle sans cesse indépendamment du contexte . Venue de plus loin , les fritures exquises émanant de la pêche ( sardines ) et des bulbes souterrains (pomme de terre ), cherchent en la salive expérimenter le plein .
Certes que dire de la courge qui frétille pas si loin . Que cucurbitacé approuve un hommage , enfin ( frites ) . Lors d’un écoulement de billes ( expression relatif au jeu de hasard ) ; le tamponnement atomique eu lieu un dimanche matin .
L’huile calcinée aux amis dont cités ont pris fin , reste sur l’éponge , grasse et odeur lugubre à laquelle savon et parmoisille ont mis fin .
L’eau selon son cours , parsemait l’oxygène qui lui restait , en train .
Il n’empêche qu’à 10 h , au lieu de Saint Justin , se baignaient les résultantes d’un mélange pas du tout paroissien . Donc l’intrigue se trouve en gît , en réponse aux Narquoins ( habitants de la sphère centrale du ventricule gauche ) , nul ne pouvait répondre au devenir du refrain .
Le voici :
Que devienne les leurres quand ils brûlent enfin ?
Où se répand la sueur quand l’effort ne fait rien ?
Par où se trame la peur quand son cœur est trop plein ?
Que pourrait être l’heure quand l’horloge s’éteint ?
Ainsi s’en va le rythme d’une recette dont le pain , bât à tout vent l’indicible frénésie du comment ; de la friture au bain .
Comment ici faire office de si peu de ce rien ?
Philanthrope du fluide , m’en remet aux écrins , de vos savoirs fertiles ; de vos encres sur les miens .
Commentaires 1
Est ce quelqu'un en comprend quelque chose de penser savoir finalement rien?
ta culinaire au creux de tes ailes: et si c'était simplement là, dans ce qui se dépose, se pose, se repose, ce qui se fait de toi, de tes réponses...