L’eau tonne et les autres coups , leurres .
Il pleut des tonneaux sur les cernes , comme disait la parole au regard de lui plaire .
Il coule sur les os une cascade rivière , comme dans chaque vaisseau entre peau et chimère .
Le nœud d’un caillou plus gros sur le lit et le flot est cassé , soudoyé au virage au détour à la dérive . Creuser un autre trajet ou disparaître à jamais .
Tombe du ciel , monte les rivières , l’or brise , la rage bombe .
ça commence depuis cinq cents jours et autant de nuits . Des milles et des cents heures, dessous le tout , et comme par un fait divers , l’intérieur mouille .
Tremper à l’ambiance , convoiter , s’acclimater , corps et escapade valide , validé .
Faire , défaire se défaire .
Le langage a changé . Les affreux fresquent un scénario aliénant . Les acteurs se résignent signent prennent une dose , un remontant , rien ne sera jamais plus comme ...
La régie monte le son , les maquilleurs s’indignent et la caravane passe .
Le subtil se lobotomise de l’ ailleurs . Le goût se dilate dans les limbes de l’oubli .
A une virgule près de l’atteinte , de l’île .
-Tu viens d’où ?
Vivre , humain , humaine , humanité . Le rêve de vivre incarné …
Comment font la pluie et le beau temps si après le climat un jour s’en va ?
A deux , l’un et l’autre c’est si bon par moment .
Allez hop passer ça . Un et deux nouveaux jours c’est parti le voilà !
Faire ce dont on a foi !
Euhh en maths pas appris que 1 + 1 égal trois .
Comme avant comme toujours , comme glamour .
- Apaise , recycle en vertu selon la poubelle .Bleu , jaune où sont les marrons ?
Au poids ici tu payes ton container.
A la connerie il n’y a toujours pas de barrière .
Tais toi , signe et le reste prône pour ton affaire . Oui mais ...
Les pigments de leurs toiles se transforment en …gronde le ciel , noire la vue , digitale les sens .
- Que faire du bleu parsemé de traînées , des épices , du soleil ?
Viens ma douce , viens .
D’aussi loin que ce vert baigne sous mes yeux , les pins , les chênes , les hêtres qui mûrissent peu à peu, tombe feuille à feuille viens avenir , viens je ne crains plus tes mains .
Nous ferons de ton cycle une force , une loi , arrive je t’entends , tu es là .
Et de ton ombre et de la mienne nous y sommes voilà à 4 on sera ….
Le carré passe à l’as . Au plus fort , tout respire un peu mieux , l’eau et les couleurs en soi .
La lune est pleine , les feuilles mortes éclairent la brume .
Même si la nuit envahit peu à peu le jour , entre hécatombes et espoirs , entre les ancres , les amarrages et les courants , je te vois .
Je me perds pas , tu es là .
Il est cinq heures , noir et blanc dehors il gèle . Allumer le feu .