LA NUIT DURE LONGTEMPS MAIS LE JOUR FINIT PAR ARRIVER
Enfance cloîtrée dans une violence de silence
Fenêtre fermée, porte verrouillée
La mort est lente.
Un rayon de soleil intrus troue le mur de brouillard
Le coeur de l’enfant s’y glisse
Ses joues rosissent
La vie sourd dans son corps
L’irrigue
Et la porte s’ouvre…
Se sauver, se sauver.