lettre de Jacqueline -dessin de Claudie
" Dansons, dansons, sinon nous sommes perdus ! "
Cheveux au vent,
Courbure des bras et des jambes.
Oublier les soucis. .
Souples comme un roseau, les corps ondulent.
La vie devient vive avec cette musique.
Le duende est bien là.
Les voix et les corps sont habités.
Le pharaon noir est dans l'air et se glisse dans la salle
Le chant et la danse du flamenco ont tout envahi.
Commentaires 1
le "duende" nous fut traduit, il y a déjà longtemps, par : "la nostalgie n'est plus ce qu'elle était..." mais à chacun-e sa propre errance qui re-visitera nos mondes intérieurs...